- Brigitte ASSELINEAU

Présidente de la FF2P

 

- Adalberto Barreto (Brésil)

Professeur, docteur en psychiatrie et en anthropologie, ethnologue et psychothérapeute

 

- Serge Boimaré

Psycho pédagogue et psychologue clinicien

 

- Daniel Cortesi

Gestalt-thérapeute

 

- Jean Faucheur

Artiste plasticien

 

- Jean Furtos

Psychiatre, ancien chef de service au Centre Hospitalier le Vinatier (Lyon-Bron),

directeur scientifique honoraire de l’Observatoire National des Pratiques en Santé Mentale et Précarité (ONSMP)

 

- Jean François Gravouil

Psychothérapeute

 

- Martine Lani-Bayle

Psychologue clinicienne, professeur en science de l’éducation

 

- Elisabeth Leblanc-CORET

Psychologue clinicienne

 

- Christian MERLE

Vice-président de la FF2P

 

- Claire MESTRE

Psychiatre, anthropologue, responsable de la consultation de médecine transculturelle à Bordeaux

 

- Association Le M.U.R

Modulable. Urbain. Réactif.

 

- La Compagnie NAJE

Nous n'Abandonnerons Jamais l'Espoir

 

- THOMTHOM

Artiste urbain

 

- Serge Tisseron

Psychiatre, psychanalyste, docteur en psychologie

 

 

Brigitte ASSELINEAU

présidente de la FF2p

christian merle

vice-président de la FF2P

Christian Merle est psychopraticien en Psychologie de la Motivation et en Logothérapie.

Il est vice-président de la FF2P

Elizabeth LEBLANC-CORET

psychologue clinicienne

Elizabeth Leblac-Coret est psychologue clinicienne, analyste de formation jungienne. Elle a fondé à Paris avec son mari Pierre CORET Savoir Psy, école de psychologie et de psychothérapie, dans laquelle elle a poursuivi l’enseignement et la formation de psycho-praticiens pendant plus de 25 ans. Sa vocation est de répondre aux besoins de formation et d’information d’un monde en quête de sens, en redonnant sa place à l’Homme dans ses dimensions de corps, de cœur, d’âme et d’esprit.

 

Actuellement, elle se consacre surtout aux ponts qui existent entre la dimension psychologique et la dimension spirituelle.

 

Elle intervient également dans une association, La Traversée, offrant  à toute personne souffrant d’exclusion, de solitude et de perte de lien, un espace de reconstruction personnelle et sociale, comme formatrice, superviseur des accompagnants et conférencière.

 

 

 

Précarité psychique : recréer le lien

 

 

En tant que formatrice et superviseur au sein de l’association La Traversée, j’ai axé mes interventions sur la compréhension et la prise en compte du sentiment de précarité des personnes accompagnées.

 

La Traversée est un lieu d’accueil et de liens. Sa démarche repose sur la vision de l’homme en tant qu’être de relation appelé à se transformer et devenir acteur de sa vie et du changement social.

Les activités qu’elle propose visent à faire sortir de la spirale de l’isolement : retrouver confiance en soi et en l’autre, reconquérir sa capacité d’agir et de réagir.

 

Au cours de cet exposé, après avoir décrit à l’aide d’exemples les manifestations de la précarité psychique telle que nous la rencontrons à La Traversée, j’exposerai les différents moyens mis en œuvre pour y remédier.

 

 

 

Martine Lani-Bayle

Psychologue clinicienne, professeur en science de l’éducation

Née au milieu du siècle dernier, son expérience professionnelle a d’abord été marquée, à partir de 1974, par 20 années en tant que Psychologue clinicienne dans des services d’Aide sociale à l’enfance et de pédopsychiatrie. En 1994, elle se dirige vers l’enseignement et la recherche universitaires comme Maître de conférences à l’université de Nantes où elle est, depuis 1999, Professeure en Sciences de l’éducation.

 

En 2000, elle a ouvert à l’Université de Nantes un DU Histoires de vie en formation (DUHIVIF) et a créé une revue devenue "Interfaces" (Chemins de formation). Depuis 2017, les deux sont gérés par l’Université de Tours. Elle est auteur de nombreux articles et chapitres d’ouvrages, et de 31 livres depuis 1983. Plusieurs sont en cours de rédaction ou de publication. Les travaux de son équipe de recherche s’organisent principalement autour de trois univers enchevêtrés : clinique-dialogique, complexité, temporalité.

 

 

 

Précarité, récit de vie à mots retenus et résilience

« Une autobiographie est une souffrance, une souffrance lourde. À chaque fois je me blessais en étant dedans : le "Je" »

     Scholastique Mukasonga

 

« Dire ne donne pas la paix, il ne faudrait pas raconter »

     Anne-Marie Garat

 

La mise en récit de sa vie se démocratise aujourd’hui de plus en plus avec de nombreuses attentes, ce qui peut se concevoir quand on s’adresse à des personnes dont la vie s’est déroulée sans trop dépasser les frontières du tolérable ou du dicible.

 

Mais que se passe-t-il quand cette démarche est posée sous forme d’injonction  (par exemple pour l’octroi d’allocations ou permis de séjour) et concerne des personnes dont la vie est passée de l’autre côté des frontières de l’extrême, personnes pour lesquelles la simple mise en mots bute sur des impasses ou impossibilités du fait, notamment, des souffrances ou humiliations que ces évocations réactivent ?

 

Et le récit, quand il survient, est-il porteur d’émancipation possible de ce qui a été subi, comme certains le croient, ou au contraire enfermement de la vie dans des mots qui fixeront et ressasseront les traumatismes subis en un présent sans fin ?

 

Au-delà, si nous constatons bien que le récit de (sa) vie peut être travaillé avec des attentes thérapeutiques ou cathartiques voire formatives, peut-il être considéré "en soi" comme facteur de résilience, est-il apte à la provoquer du simple fait de faire tenir le récit debout, voire permet-il juste d’en révéler, après coup, l’éventualité?

 

Mais alors, que faire de ce qui aurait, ne serait-ce qu’un temps, besoin de se taire, besoin d’un moment de silence pour récupérer de ce que la vie a tué en soi et que les mots ne peuvent parfois qu’accentuer ?

 

Les « illusions biographiques », dénoncées dans les années 70 par Pierre Bourdieu, seraient-elles plus que jamais à l’ordre du jour ? Dans le contexte actuel, un regard lucide sur la démarche et ses possibles effets semble plus que jamais nécessaire.

 

 

Jean-François Gravouil

psychothérapeute

Jean-François Gravouil exerce à Paris comme psychothérapeute, formateur et superviseur de psychothérapeutes. Il est inscrit dans le courant de la Psychothérapie Gestaltiste des Relations d'Objet et des neurosciences affectives.

Il exerce aussi comme consultant, coach et formateur dans le domaine du management et des ressources humaines.

 

06 03 91 33 21

jean-francois.gravouil@wanadoo.fr

www.aclerget-jfgravouil.com

 

 

 

 

 

 

Emotions dysrégulées, liens  perturbés :  la précarité psychique menace

 

 

Les humains sont des êtres sociaux dont l’équilibre psycho, socio, économique dépend pour une large part de la qualité des liens qu’ils tissent. Dès lors que leur compétence affective est dégradée par un système émotionnel dysrégulé, leur capacité à créer des liens constructifs est problématique.

 

Nous examinerons les facteurs de dégradation de l’équilibre affectif, leur effet sur la construction des liens et la précarité qui en découle. Puis nous réfléchirons aux conditions de régulation du système émotionnel et aux compétences à développer pour entrer dans des liens qui soutiennent, stimulent et protègent de la précarité.

 

Psychiatre

Jean Furtos

Jean Furtos est psychiatre des hôpitaux honoraire.

Il a été chef de service au Centre Hospitalier le Vinatier (Lyon-Bron) et il est directeur scientifique honoraire de  l’Observatoire National des Pratiques en Santé Mentale et Précarité (ONSMP), dans le cadre de l’ORSPERE-SAMDARRA qui publie la revue Rhizome (Bulletin national santé mentale et précarité), sous l’égide du Ministère de la santé.

 

Il a dirigé de nombreuses recherches sur ces thématiques, en France et à l’international. Il a notamment publié : de la précarité à l’auto exclusion (ed. la rue d’Ulm, 2009) et les cliniques de la précarité (Masson, 2008) et a  participé à de nombreux ouvrages.

 

Il travaille actuellement comme psychiatre dans un Hôpital de jour (Clinique La Chavannerie, Orpea, Chaponost, 69) et continue par ailleurs dans le champs de la précarité.

 

 

 

 

 

Les effets paradoxaux de la clinique psychosociale sur les cliniciens : comment rester vivant et aidant

 

 

Si la précarité psychique ne doit pas être confondue avec ce que l’on appelle ordinairement la précarité sociale, il n’en reste pas moins vrai qu’il est précieux d’avoir une perspective psychosociale, que nous avons nommée depuis 1999 « clinique psychosociale », et qui reprend à nouveau frais la notion freudienne de souffrance psychique d’origine sociale.

 

L’intérêt majeur de cette approche, pour les cliniciens, est de pouvoir reconnaitre une clinique transversale, transnosographique et transdisciplinaire, essentiellement paradoxale, qui permet d’entrer dans une sorte de « monde à l’envers » ; grâce à quoi le clinicien est moins décontenancé dans son approche singulière individuelle et groupale.

 

Le dit syndrome d’auto exclusion sera développé dans le sens théorique et des conduites à tenir. C’est une forme de nouvelle anthropologie clinique contemporaine.

 

 

 

artiste peintre

jean faucheur

Jean Faucheur est un peintre et sculpteur français, cofondateur du groupe des Frères Ripoulin.

Membre de l'association M.U.R

http://www.lemur.fr/artiste/jean-faucheur/

 

 

 

Daniel Cortesi

Gestalt-thérapeute

Daniel Cortesi est Gestalt-thérapeute, coach, formateur de coach et superviseur, j’interviens depuis plus de 20 ans dans ces différents cadres. J’ai fondé et je préside Epoké institut de formation et d’intervention en Gestalt dans les Organisations. Dans ce cadre, je porte la conviction que chaque temps de travail est un acte politique : penser de manière autonome et s’extraire de la confluence avec la majorité.

Mes recherches personnelles se portent sur la posture méditative de l’accompagnant.

Au sein des Psys du cœur, j’interviens à l’antenne d’Annecy et préside l’association depuis 2017

 

 

 

Précarité psychique

 

 

Les Psys Du Cœur offrent des espaces de soutien thérapeutique sous forme de permanences ouvertes à chacun sans rendez-vous et dans l’anonymat. Les thérapeutes et accueillants œuvrent en tant que communauté de soutien. Cette dernière est critique pour notre action : nous en verrons la nécessité, ses formes et sa précarité.

Par ailleurs, confrontés aux formes les plus aigues de précarité psychique (sociale et économique), les bénévoles sont interpellés sur leurs propres limites et fragilités. A travers quelques situations, je proposerais de nous interroger sur l’émergence des résonnances entre thérapeutes et usagers/patients et sur leur utilisation possible dans notre action de soutien.

 

 

 

Serge Boimare

Psycho pédagogue et psychologue clinicien

Serge Boimaré est psycho pédagogue et psychologue clinicien.

Ancien Directeur Pédagogique du Centre Claude Bernard de Paris

Actuellement formateur près de école de la ville de Genève.

 

Auteur de :

 « L’enfant et la peur d’apprendre »

 « Ces enfants empêchés de penser »

Editions Dunod

 

Dernière publication :

Une école pour la réussite de tous… et si c’était possible

Editions SB formation (février 2018)

 

 

 

 

De la précarité à l’empêchement de penser, existe-t-il une pédagogie pour renforcer les compétences psychiques

 

 

Comment éviter la déstabilisation quand on affronte les contraintes de l’apprentissage avec des compétences psychiques trop précaires ?

 

A l’aide d’exemples pris dans le cadre du soutien psychopédagogique en direction

d’adolescents décrocheurs je tenterai de montrer que l’empêchement de penser est souvent la défense privilégiée pour réduire les tensions et les inquiétudes  provoquées par les exigences de l’apprentissage .

 

Quelles propositions pédagogiques peut on faire à ceux qui sont dans cette situation ?

 

Sont ils condamnés à l’échec scolaire ?

 

 

Adalberto Barreto

Professeur, docteur en psychiatrie et en anthropologie, ethnologue et psychothérapeute

Adalberto Barreto est professeur, docteur en psychiatrie, et en anthropologie, ethnologue et psychothérapeute.

 

Il est actuellement professeur à l’Université fédérale du Ceara (UFC), dans le département de santé communautaire de la faculté de médecine.

Il a créé la Thérapie Communautaire, un programme de soins primaires dans le champ de la santé mentale, qui fait avant tout appel aux compétences des personnes et promeut la construction de réseaux solidaires.

Il est directeur du Centre d’études de la famille (Brésil).

 

 

 

claire mestre

psychiatre anthropologue

Claire Mestre est psychiatre-psychothérapeute, anthropologue, auteure.

Elle dirige la consultation transculturelle au CHU de Bordeaux.

Elle a fondé en 1998 l’association Mana qui œuvre dans le soin et la prévention auprès des populations migrantes à Bordeaux.

Elle enseigne à l'université de Bordeaux et est co-organisatrice du DU « Médecines et Soins transculturels »

Co-rédactrice en chef de la revue L’autre, cliniques, cultures et sociétés, membre du Collège de Spirale (Editions Erès),

 

Parmi ses publications :

Bébés d’ici, mères d’exil. Toulouse : Erès ; 2016.

Maladies et violences ordinaires dans un hôpital malgache. Paris : L’Harmattan ; 2013.

Je t’écris de… correspondances Marie Rose Moro-Claire Mestre (2010-2012). Grenoble : La Pensée sauvage ; 2013.

2008, Mestre C. Asensi H. Moro MR. Vivre, c’est résister. Textes pour Germaine Tillion et Aimé Césaire. Grenoble : La Pensée sauvage ; 2010.

 

 

 

 

Quête plurielle… face à la précarité psychique et culturelle

 

La consultation transculturelle accueille dans une équipe pluridisciplinaire des personnes exilées ayant souvent été victimes d’événements graves et traumatiques : les paroles du patient traversées par le silence et la souffrance, parfois par une expression culturelle déroutante, l’écho médiatique des traversées des frontières, la conjoncture administrative nous obligent à une attitude vigilante et réflexive, qui doit faire face à l’empiètement de la pensée, l’urgence sociale, et la temporalité morcelée du patient.

Le travail de groupe, une méthodologie complémentariste, l’utilisation de médiations sont les outils qui nous permettent de soigner en établissant d’abord une relation de confiance.

Des exemples cliniques illustreront notre propos.

 

Serge Tisseron

psychiatre, docteur en psychologie

Serge Tisseron, Psychiatre, membre de l’Académie des Technologies, docteur en psychologie habilité à diriger des recherches en sciences humaines cliniques, chercheur associé à l'Université Paris VII Denis Diderot.

 

Auteur d’une quarantaine d’ouvrages personnels, ses livres sont traduits dans douze langues.

Il a reçu en 2013 à Washington un Award du Family Online Safety Institute (FOSI) pour ses travaux sur les jeunes et les écrans.

 

Derniers ouvrages parus :

3-6-9-12, apprivoiser les écrans et grandir (Ed. éres)

Le jour où mon robot m’aimera : vers l'empathie artificielle (Ed. Albin Michel)

Empathie et manipulations, le piège de la compassion (Ed. Albin Michel)

 

www.sergetisseron.com

 

 

 

écrans et précarité psychique

 

Les outils numériques bouleversent tous les domaines : le rapport aux savoirs et aux apprentissages, la construction de l’identité et les formes du lien social.

Et nous pouvons à tout moment les utiliser pour fuir le monde, ou au contraire  pour démultiplier nos possibilités d’agir sur lui. Mais cela suppose de prendre par rapport à eux la distance nécessaire.

Certains auteurs mettent aujourd'hui l'accent sur le rôle délétère de l'imprégnation télévisuelle précoce, comme Linda Pagani, auteure de la seule étude longitudinale à ce sujet.

D'autres insistent sur la fragilisation quotidienne de chacun d'entre nous par les écrans d'actualité. et d'autres sur le rôle de prédateur d'attention des réseaux sociaux.

C’est le but des balises 3-6-9-12 de répondre à ces préoccupations en fondant une indispensable diététique des écrans à tout âge, autant individuelle que familiale.

 

 

 

 

artiste urbain

thomthom

 

ThomThom est artiste urbain, membre de l'association M.U.R

http://www.lemur.fr/artiste/thomthom-hephaistos/

 

 

 

Compagnie NAJE

Nous n’Abandonnerons Jamais l’Espoir

NAJE est une compagnie théâtrale professionnelle pour la transformation sociale et politique. Elle pratique le Théâtre de l'Opprimé méthode Augusto Boal (théâtre forum, théâtre images, théâtre et thérapie, théâtre invisible, théâtre journal).

 

La Compagnie NAJE nous propose un spectacle de théâtre forum composé de 4 séquences   pouvant illustrer  différentes situations de précarité.

 

Les scènes disent des réalités qui ne nous conviennent pas et en dévoilent les enjeux. Elles sont construites comme des questions : comment faire pour proposer un changement ?

 

Les scènes sont jouées deux fois et les spectateurs sont ensuite sollicités pour être acteurs du débat. S’ils le souhaitent, ils peuvent venir sur scène pour jouer leur point de vue et tenter ainsi de faire bouger les choses.

Aucune intervention ne peut se faire de la salle. Pour intervenir il faut remplacer le personnage avec lequel on se sent solidaire parce qu’alors, l’intervention prend le poids de l’action tentée. Faire forum, c’est s’essayer ensemble à l’action transformatrice et peser ses conséquences.

 

www.compagnie-naje.fr

 

 

 

 

association le m.u.r

Modulable. Urbain. Réactif.

Le M.U.R. (Modulable, Urbain, Réactif) Association co-fondée en mars 2003 par l'artiste Jean Faucheur et THOM THOM, est engagée dans la promotion de la l’art contemporain et plus particulièrement de l’art urbain. Au coeur du XIe arrondissement parisien, le M.U.R. emprunte à l’affichage publicitaire son format et son rituel.

L’association propose à des artistes urbains, de manière régulière, d’investir un panneau, situé à l’angle de la rue St Maur et de la rue Oberkampf, en collant des peintures originales de 3x8m réalisées en atelier ou en les réalisant in situ. Il s’agit d’œuvres éphémères selon le principe d’une œuvre recouvrant l’autre. Acryliques, encres, aérosols, collages ou performances en direct, les modes d’intervention sont libres et multiples.

Sorte de musée à ciel ouvert, le M.U.R. crée une passerelle entre un quartier et une démarche artistique souvent mal connue: celle du Street Art.

 

Jean FAUCHEUR et THOM THOM  réaliseront une performance pendant le colloque et nous aurons un entretien avec eux pour qu’ils nous expliquent le sens de leur démarche.

 

 

www.lemur.fr

 

 

 

 

fédération française de psychothérapie et psychanalyse

6 avenue du Maine - F - 75015 PARIS - Tél. : 33 (0)1 44 05 95 50 - Fax : 33 (0)1 45 44 62 34

contact@ff2p.fr - www.ff2p.fr

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