Accueil des participants
Chaque conférence sera suivie d’un temps d’échanges avec la salle
Ouverture du colloque par Sandrine Calinaud et Hervé Etienne, co-présidents de la FF2P
La FF2P a 30 ans !
Nadia Garnoussi, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille.
Soigner l'individu dans un monde qui va "mal".
Réflexion sociologique sur la psychothérapie comme acteur de la critique sociale. >>>
Pause et espace dédicace
Jacques Miermont, président de la Société Française de Thérapie Familiale
L'apport thérapeutique des singularités familiales et sociales. >>>
Pause déjeuner et dédicace
Retour d’ateliers en plénière - conclusion de la journée
Dédicace
Tous les participants sont conviés au cocktail offert pour célébrer les 30 ans de la FF2P !
Accueil des participants
Retour d'ateliers en plénière
Pause déjeuner et dédicace
Lucien Tenenbaum, ancien psychiatre des hôpitaux, psychopraticien, superviseur et auteur
Sur les liens secrets entre la psychothérapie et le désordre actuel du monde... >>>
Serge Hefez, psychanalyste et thérapeute familial et conjugal
Un monde sans limites ? >>>
Conclusion et perspectives
Les ouvrages des intervenants seront en vente sur place
08h45 - 09h30
09h30 - 10h00
10h00 - 10h45
10h45 - 11h30
11h30 - 12h00
12h00 - 13h00
13h00 - 14h30
14h30 - 16h30
16h30 - 17h30
17h30 - 18h00
18h30 - 19h30
09h00 - 09h30
09h30 - 11h30
11h30 - 12h30
12h30 - 14h00
14h00 - 15h00
15h00 - 16h00
16h00 - 17h00
vendredi 7 mars 2025
samedi 8 mars 2025
LES ateliers thématiques
LE plan des salles
1 - Les crises actuelles, quels impacts dans nos formations de psychopraticiens et dans nos pratiques cliniques ?
Animé par Sandrine Calinaud, co-présidente de la FF2P et psychopraticienne et
Jean-Luc Colia, vice-président de la FF2P et psychopraticien
VENDREDI & SAMEDI - salle Bastille
Le mal être de l’Homme moderne est plus que jamais en lien avec l’environnement dans lequel nous évoluons. Le monde d’aujourd’hui change très rapidement et les conséquences associées s’invitent dans nos consultations.
L’impact de ces changements est multiple et complexe, la prise en compte est incontournable : utilisation des réseaux sociaux et des nouvelles technologies, accélération des rythmes de vie, évolution des attentes sociales, diversité culturelle et inclusion, radicalisation de la pensée, crise environnementale...
Quel regard nous, psychopraticiens, portons-nous sur ces changements ?
Comment sommes-nous impactés personnellement par ces derniers ?
Comment nos clients/patients les manifestent, les expriment, les vivent dans nos cabinets de consultations ?
Comment nous, psychopraticiens, en tenons-nous compte dans nos accompagnements ?
Que mettons-nous en place dans l’exercice de notre métier pour évoluer dans notre pratique ?
Que nous manque-t-il ?
C’est tout au long de cet atelier que nous allons tenter de réfléchir à ces questions et d’en dégager des éclairages et éventuellement des actions pertinentes.
2 - La supervision, garant de la qualité de nos pratiques et observatoire des évolutions de notre société
Animé par Lucien Tenenbaum, ancien psychiatre des hôpitaux, psychopraticien, superviseur et auteur
VENDREDI & SAMEDI - salle Nation
Guerres, genre, dérèglement climatique, désinformation, addiction (aux écrans comme aux substances) devenue un mode de vie semblent répliquer l’ébranlement majeur du Covid.
La supervision est un observatoire privilégié pour voir comment les événements disruptifs et l’évolution sociétale impactent les praticiens et les personnes qu’ils accompagnent. Les questions qui émergent - isolement vs solitude, où suis-je chez moi, suis-je libre de choisir, à qui faire confiance, comment rester libre quel que soit l’événement ? - dramatisent l’enjeu majeur de la protection de l’intime, pour tout le monde.
3 - La recherche : une clé pour la reconnaissance de la psychothérapie ?
Animé par Marc Tocquet, psychologue clinicien, docteur en psychologie, psychothérapeute
VENDREDI - salle Reuilly
La recherche concernant la psychothérapie est ancienne (la toute première étude a été menée par un psychanalyste en 1917). Si elle a connu divers engouements selon les périodes, la recherche en psychothérapie s’avère actuellement fondamentale pour la reconnaissance du travail psychothérapeutique et de sa vitalité, pour la compréhension des processus thérapeutiques et le perfectionnement de ces processus.
L’atelier abordera l’évolution et l’état de la recherche en psychothérapie, de quelles manières peut-on actuellement conduire l’étude des processus thérapeutiques, de leurs fonctionnements et poursuivre ainsi l’amélioration de nos pratiques et de leurs spécificités.
4 - Les identités de genre en question
Animé par Maëlle Marvaud, psychopraticienne
VENDREDI & SAMEDI - salle Paul Valéry
Dans nos sociétés où les expressions de genre et les parcours identitaires se diversifient, les psychopraticiens jouent un rôle crucial pour offrir un espace d’élaboration, de sécurité et de respect à leurs patients.
Lors de la première partie de cet atelier, Maëlle Marvaud présentera son expérience personnelle et son travail d’accompagnement auprès des personnes transgenres ou en questionnements.
Dans une deuxième partie elle proposera de partager un temps de réflexion autour des questions de genre.
Un des objectifs de cet atelier est de permettre aux participant.es de clarifier ou fortifier leur positionnement personnel face à des problématiques qui peuvent parfois leur paraître en décalage de ce qu’ils ou elles peuvent rencontrer habituellement dans leur pratique.
5 - L’éco-anxiété : comment la situation écologique affecte notre santé psychique
Animé par Yann Desbrosses, psychopraticien - VENDREDI - salle Vincennes
Animé par Claire Tauty, psychopratienne - SAMEDI - salle Vincennes
Pollution de l’air et de l’eau, des aliments de moins en moins sains, des ondes qui nous inondent, saturation de nos psychés ! Nos cabinets viennent-ils se remplir de plus en plus avec des questions vitales, de survie de l’espèce humaine, de stress et d’anxiétés sur ces thèmes ? Ou bien, les enjeux existentiels pour l’humanité comme les dérèglements du climat et de la biodiversité sont-ils peu parlés dans nos cabinets de psychothérapie ? Entre éco-anxiété et éco-dissociation, comment accompagner les émotions liées à l’environnement pour qu’elles deviennent puissances d’engagement ?
Cet atelier permet d’ouvrir un espace de réflexions et de partages autour de ces questions.
6 - Violences intra-familiales : une réaction inadaptée
Animé par Georges Escribano, psychologue clinicien, analyste transactionnel
VENDREDI - salle Trichaud 2
Dans nos sociétés, les réactions aux contrariétés, aux incompréhensions ou aux frustrations ont tendance à se manifester par une violence de plus en plus exacerbée et/ou visible. Le cercle familial est le premier révélateur de ce qui va ensuite se propager à l’ensemble de la société.
Comment y faire face et comment accompagner au mieux tous ceux affectés par ces situations ?
7 - Les parentalités en question
Animé par Pierre Canouï, psychiatre, psychopraticien
VENDREDI - salle Santerre
La parentalité et son rôle dans notre société sont de plus en plus questionnés.
En tant que psychopraticiens, nous accompagnons des personnes qui vivent souvent comme un défi les divers aspects de la parentalité. Cet atelier a pour objectif de nous permettre d'explorer ensemble les multiples facettes de la parentalité moderne et l’évolution des rôles parentaux et des dynamiques familiales, en questionnant nos pratiques, nos perceptions et nos approches cliniques.
8 - La psychothérapie hors les murs
Animé par Dominique Gutierrez, thérapeute psychocorporel biodynamique
VENDREDI & SAMEDI - salle Paul Bert
Loin du cabinet, peut-on créer des cadres et des dispositifs qui nous permettent de jouer notre rôle d’aide, d’accompagnant de psychopraticien ? De plus en plus de possibilités s’ouvrent et des expériences riches montrent que le cadre peut aller bien au-delà des murs de nos cabinets pour le plus grand bien de nos clients.
Échange d’expérience dans un travail avec le cheval et ailleurs, avec les limites et aussi les possibilités qui s’ouvrent.
9 - Psychanalyses et psychothérapies humanistes
Animé par Edmond Marc, psychologue, Docteur d’État en sciences humaines et professeur émérite en psychologie,
spécialiste des psychothérapies
VENDREDI & SAMEDI - salle Picpus
Pendant toute la première partie du XXème siècle, la psychanalyse a occupé une place centrale dans le champ de la psychothérapie. Elle le doit à l’originalité, à la fécondité et à la richesse de sa pratique et de la théorie freudienne. En même temps, elle a éclaté en de multiples tendances se réclamant d’Adler, de Jung, de Reich, de Klein, de Winnicott ou de Lacan. Si bien qu’aujourd’hui il est plus juste de parler des psychanalyses que de la psychanalyse.
Certains novateurs se sont éloignés de ce courant pour fonder leurs propres écoles. C’est principalement le cas des psychothérapies existentielles et humanistes fondées par Jaspers, Binswanger, Reich, Rogers, Perls, Berne… pour ne citer que les plus importants.
Les relations entre ces deux courants, psychanalytique et humaniste, bien qu’ils partagent des bases communes, se sont donc structurées sur le mode de l’antagonisme et du rejet mutuel (marqué surtout du côté psychanalytique). En même temps, les psychanalystes se sont appropriés certaines des méthodologies venant du courant humaniste comme le psychodrame, le groupe thérapeutique, la relaxation, l’écoute empathique…
Aujourd’hui, même si la fermeture persiste dans certaines écoles, l’ouverture et le dialogue semblent l’emporter dans un mouvement que l’on peut qualifier d’« intégratif » et qui s’efforce de dégager les éléments de rencontre entre psychanalyses et psychothérapies humanistes
Cet atelier s’efforcera de confronter les points de vue des participants sur cette problématique.
10 - Quand l’IA se prend pour un psy
Animé par Michaël Stora, psychologue et psychanalyste
VENDREDI - salle Trichaud 1
L’Intelligence Artificielle fascine ou bien fait peur, mais elle ne laisse pas indifférent. Quelle place va-t-on choisir de lui laisser dans notre vie, dans nos professions et dans notre société ? Dans notre activité de psychopraticien, de relation d’aide à la personne, serions-nous déjà dépassés ? La machine remplacerait-elle l’homme dans tous les domaines ? Toutes ces questions existentielles sont importantes pour toutes les professions et encore d’avantage dans notre activité qui privilégie la relation à l’autre, les valeurs profondes de notre humanité.
Comment accompagner et traverser ces transitions ?
11 - La recherche (en psychothérapie) pour les nuls ?
Animé par Sylvain Risse, gestalt-thérapeute
SAMEDI - salle Reuilly
Être dans la recherche est-ce si compliqué ? Dans un système sociétal où la science devient le guide de chaque instant, comment pouvons-nous d’une manière simple en faire notre alliée pour permettre à nos activités d’accompagnant de montrer l’importance de ce travail d’écoute, de présence et d’accueil qui œuvre dans nos cabinets et qui permet de soulager, de transformer l’insupportable, le difficile vers quelque chose qui permet au vivant de s’épanouir et d’entrouvrir la porte vers un nouveau qui peut être bon et joyeux.
12 - Groupe de rencontre
Animé par Catherine Gay, psychopraticienne et Nelly Amado-Higino, psychopraticienne
SAMEDI - salle Trichaud 2
Notre pratique dans nos cabinets nous amène à être dans une relation particulière et dans un cadre bien défini avec nos clients/patients qui induit souvent aussi de la tension dans cette position concave de celui qui écoute et accueille. Nous proposons dans cet atelier de se laisser aller, de se rencontrer, de rencontrer l’autre.
Les groupes de rencontre, dans le cadre de l'Approche centrée sur la personne (ACP) développée par Carl Rogers, sont des espaces de dialogue et d'interaction où les participants peuvent explorer leurs pensées, émotions et comportements dans un environnement sûr et empathique. L'objectif principal de ces groupes est de favoriser une communication authentique et une compréhension mutuelle entre les participants.
Dans ces groupes, l'accent est mis sur l'écoute active, l'empathie et l'acceptation inconditionnelle. Les participants sont encouragés à s'exprimer librement et à être eux-mêmes sans crainte de jugement. Le facilitateur, souvent un thérapeute formé à l'ACP, joue un rôle de soutien plutôt que de direction, en aidant à créer un climat de confiance et de respect.
13 - Projection du film : Emergence des Psychopraticiens (1h27)
Animé par Michel Meignant, médecin, psychopraticien et cinéaste
SAMEDI - salle Santerre
Dans cet atelier, Michel Meignant présentera son film « Emergence des Psychopraticiens ».
Voici ce qu’il en dit :
« Ce film représente 10 ans de combat pour créer les lois et les décrets qui réglementeraient l’exercice de la psychothérapie tels que nous l’avions conçu.
Les membres du SNPPSY, du PSY’G, de l’AFFOP, et de la FF2P étaient demandeurs d’une réglementation. Malheureusement, dès qu’il a été question d’une réglementation, une commission s’est formée au ministère de la santé et à la première réunion pour mettre au point cette réglementation ont été invités des psychiatres, des psychologues et des psychanalystes. Et nous les psychothérapeutes nous n’étions pas invités ! Alors ça été tout un combat pour finalement être reçus par les Députés, les Sénateurs, mais nous n’avons jamais obtenus d’être reçus par le Ministre, sauf par des membres du cabinet…Finalement, il y a eu une grande réunion plénière qui a été organisée par le Ministre de la Santé de l’époque, Xavier Bertrand, où nous avons été invités, comme les autres. Nous avions gagné ça. Etaient réunis psychiatres, psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes.
Ce film vous présente des interviews, passées à la télévision des extraits de débats au Sénat, à l’Assemblée nationale. Vous verrez deux personnes qui nous ont beaucoup soutenus : Jean-Pierre Sueur, Sénateur du Loiret, Claude Evin, Député de Nantes, défendant notre position, l’idée qu’organiser l’exercice de la profession de psychothérapeute sans travail personnel et sans supervision donnait moins de garantie aux usagers de nos cabinets que ceux qui ajoutaient un travail personnel et une supervision dans leur formation et leur exercice. C’était ça le combat ! »
LES plénières
VENDREDI DE 10H45 A 11H30
Soigner l'individu dans un monde qui va "mal".
Réflexion sociologique sur la psychothérapie comme acteur de la critique sociale
Par Nadia Garnoussi
Il est commun de voir dans « la » psychologie et « la » psychothérapie les piliers d’une culture du travail sur soi qui tend à rabattre les questions sociales à l’échelle strictement individuelle. De cette façon le déploiement de la culture psychologique depuis ces cinquante dernières années comme manière spécifique d’aborder et résoudre des problèmes sociaux peut suggérer qu’elle participe à dépolitiser ces derniers en masquant leur dynamique structurelle. Afin de dépasser l’opposition factice entre problèmes sociaux et problèmes individuels, nous proposons de discuter des manières dont la-les psychothérapie(s) et leurs acteurs participent en réalité à produire au contraire une critique sociale où se joue un équilibrage des causalités et des responsabilités à différentes échelles. Il s’agit alors d’interroger les évolutions de cette critique sociale dans le temps mais aussi en fonction des conceptions du « bon soin » qui traversent le monde psy.
VENDREDI DE 12H00 A 13H00
L'apport thérapeutique des singuliarités familiales et sociales
Par Jacques Miermont
Les situations extrêmes se caractérisent par un risque vital imminent, de la dangerosité, une déstructuration des liens, ou encore une bifurcation de destinée. La demande vient le plus souvent des psychiatres ou des juges. Les thérapies familiales classiques, qui sont des thérapies de la famille, sont ici contre-productives. Il s’agit plutôt de créer un partenariat thérapeutique avec le patient, ses proches familiaux et le personnel soignant. Une attention particulière est apportée aux contextes périphériques et lointains, ainsi qu’au self social du patient, à savoir ce qui circule de lui dans ces contextes en son absence. La participation de la famille contribue à une socialisation familiale de celui-ci, tandis que les réunions institutionnelles relèvent d’une familiarisation sociale. L’articulation de ces deux processus aboutit à la création de hiérarchies enchevêtrées particulièrement dynamiques.
L’objectif est de contenir les débordements violents, d’atténuer la dangerosité, d’assurer la sécurité des personnes impliquées, de diminuer les angoisses et les sentiments de terreur. Les thérapeutes restent au plus près des formes d’expression du patient et de ses proches, en favorisant des conversations qui n’auraient pas lieu sans leur présence. Ils réalisent ainsi des rituels extraordinaires de conversation ordinaire. Les compétences et les performances se révèlent différentes chez les familles et les équipes thérapeutiques : là où elles aboutissent spontanément à des compétitions et des escalades symétriques, les thérapeutes cherchent à instaurer des échanges complémentaires permettant de réaliser une réciprocité et une entraide entre familles et thérapeutes.
Dans de telles situations, les thérapeutes ne peuvent se contenter de conduites à tenir bien balisées et formatées. Ils se voient contraints de réapprendre autrement, en privilégiant une attitude « bottom up » (du terrain clinique à l’élaboration de modèles) à une attitude « top down » (des modèles à leur application clinique). Autrement dit, ils apprennent pas à pas au contact des patients, de leurs familles et des équipes institutionnelles. Il s’ensuit une attention particulière portée aux aspects thérapeutiques des singularités familiales et sociales des personnes en grande souffrance.
SAMEDI DE 14H00 A 15H00
Sur les liens secrets entre la psychothérapie et le désordre actuel du monde...
Par Lucien Tenenbaum
Des mouvements profonds de nos sociétés seraient-ils à l’origine de la psychothérapie comme des idéologies totalitaires au 20e siècle et des bouleversements actuels du monde ? Un des fauteurs de troubles serait-il « l’homme dégroupé » ? Aujourd’hui quels sont les enjeux de la psychothérapie et quel besoin y conduit les hommes ?
SAMEDI DE 15H00 A 16H00
Un monde sans limites ?
Par Serge Hefez
Un certain nombre de psychanalystes et de philosophes avancent l’idée d'un "monde sans limites" dans un contexte où les repères symboliques et les structures traditionnelles s'effaceraient progressivement. Leur réflexion s'inscrit dans une critique plus large de l'évolution de nos sociétés contemporaines qui seraient marquées par un affaiblissement des grands cadres structurants, comme la figure de l’autorité, la loi symbolique et la transmission des interdits, par le déclin des Pères, la jouissance sans contrainte, le primat du narcissisme, l’effacement de la différence des sexes. Qu’en est-il dans nos pratiques, où se situent aujourd’hui les limites de notre écoute et de nos interventions ?
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